Au début il n'y avait pas rien, il y avait un monde. Un monde dont on retrouve des traces. Une femme de ce monde là était très spéciale. Elle avait un idéal bien spécifique, qui n'était pas celui de son peuple : la douceur et l'amour du prochain. Lorsque l'ancien monde courut à sa perte, elle partit avec lui. La jeune femme s'appelait Diane, et par la seule force de son esprit, elle fit une promesse à l'avenir. La promesse de l'aimer, de le faire fleurir, de lui donner l'espoir et la lumière dont il aurait besoin pour avancer, subsister et prospérer dans la paix et l'amour. L'esprit de Diane prit une poignée de cendres de l'ancien monde : ses propres cendres. Elle les fit tournoyer, tournoyer, tournoyer au-dessus de sa tête. Le nuage de cendres sourit. Il s'étira, s'étira, s'étira au-dessus de l'ancien monde. Les flots de l'étoile le submergent. Et ensemble, ils créèrent la première femme du nouveau monde : Virginie. Diane lui sourit, et couvrit ses cheveux d'or du reste de ses cendres. Virginie sourit à son tour, et prit Diane dans ses bras. Elle tomba ainsi enceinte. Le premier homme naquit 3 mois plus tard. Dans un œuf transparent, que la jeune femme protégea de vents et marées, apportant à ceux-ci amour et douceur, jusqu'à ce que les marées forment sur son sillage des parterres de fleurs et des villages. Le petit grandit et suivit sa maman. Le premier homme sorti de sa bulle placentaire, de ses nuages sélénites, Diane appela Romain à attraper la main de sa maman. Les fleurs écorent peu de temps plus tard, le village Cocorico naquit, et les femmes accouchent depuis ce temps telle Virginie : des bulles planétaires. À leur mort, Adélaïde, Hanz et Romain formèrent d'autres lunes, portant leurs noms. La planète avait dévoilé ses 3 lunes.

L’Ancien Monde s’appelle Prejar prononcé Predvar. Prejar c'est un seul et unique immense peuple. Loyal et courageux, ils étaient séparés en plusieurs clans qui se foutaient un peu sur la gueule, mais surtout contre les barbares, qui eux pour le coup ne sont pas cités dans les légendes, fin si mais comme des démons. C'était un peuple guerrier, mais riche, pieux et courageux. Quand leurs dieux leur ont dit "on va vous couler", ils ont répondu "ok, viens t'battre enculé, j't’attend" 

"MES FRÈRES ! SAVOUREZ VOTRE REPAS ! CAR CE SOIR !! NOUS DÎNERONS EN ENFER !!!!!" Telles furent les dernières paroles du plus grand général des hommes de Prejar. Avant le grand effondrement. Sa reine, Diane, ne s'en remettra jamais. On raconte qu'encore aujourd'hui, la déesse primordiale et originelle veut redonner vie à son aimé. Prejar c'est des spartiates mdr.

Le nouveau Monde (qui est la raison pour laquelle j’ai renommé Annie “Virginie” pour cet original) s’appelle Nëvar, prononcé Neivar.